GRISE

Biographie

GRISE

Issue d'une famille dans laquelle tout le monde chantait, les jeunes oreilles de Justine Moreau furent baignées d'harmonie classique mais aussi de Beatles, de Rolling Stones, de Sheller, Souchon, Gotainer et autres, de rock 60', de tubes du moment, et du jazz New Orleans qu'écoutait inlassablement le grand-père. Elle passa par la case solfège, qu'elle mit en pratique de 9 à  12 ans, chantant en famille le dimanche soir dans une chorale d'adultes qu'elle finit par quitter parce que c'était le dimanche soir et très catholique.

Après ses études secondaires, elle se forma aux Arts de la Parole au Conservatoire Royal de Liège. Elle suivra ensuite un chemin atypique fait d'apprentissages autodidactes, de formations et de diverses expériences de terrain, principalement dans les domaines du spectacle, de la musique, des costumes, du stylisme et de l'animation.
En 2004 et à  26 ans, alors qu'elle habitait Liège, lui revint à  l'esprit une conviction intime et honteuse qu'elle avait depuis l'enfance d'être chanteuse et sur ce, elle décida de l'avouer et fit son coming out. Un premier projet pop “qui fut de courte durée pour raisons humaines- lui permit de découvrir sa voix à  travers un microphone et de vivre une première expérience de création musicale pour laquelle elle se mit à  l'écriture de paroles et à  l'élaboration de mélodies. A cette époque, Justine se mit à  improviser sur base de ses paroles, dès que possible, avec une rare liberté et un art particulier de capter l'attention. C'est à  cette époque aussi qu'avec joie et stupéfaction elle découvrit le milieu du jazz belge... et les codes du jazz, ce qui lui ôta pas mal de liberté pour un temps.
Désireuse d'apprendre et de pratiquer de la musique avec d'autres, elle retourna au conservatoire (Liège) pour les cours d'ensemble « Rock de Chambre » de Michel Massot et improvisation libre avec Garett List puis Michel Massot. L'été elle suivit des stages (AKDT Libramont, semaine jazz). Elle se mit en autodidacte à  la contrebasse dans l'idée de pouvoir s'accompagner et de communiquer mieux avec les instrumentistes. Avec le collectif Bao, elle pratiqua également plusieurs années les chants traditionnels afro-cubains accompagnés de percussions.
En 2009 naquit la compagnie de théâtre « O quel dommage », dont elle fait partie des membres fondatrices, créatrices et comédiennes. (www.oqueldommage.be).
En 2010, Justine monta, sur base de ses textes, le groupe « Padder and the Schwicks » avec Sofiane Remadna, Daniel Duchateau/ Martin Méreau et Aurore Leloup. Il se fondait en grande partie sur la composition collective qui a bien fonctionné pour trois concerts bien reçus puis s'est épuisée au moment de peaufiner le set. Justine décida alors d'annuler la quatrième date, de stopper le groupe et de ne rien recommencer tant qu'elle ne serait pas en mesure de diriger musicalement son projet. Après une pause musicale méditative, elle se dirigea en 2013 vers la section jazz l'académie d'Eghezée pour entrer enfin dans le vif du jazz avec Daniel Stokkart et Nathalie Loriers, et y trouver les outils manquants à  l'élaboration de son projet (harmonie et pratique régulière en combos).
En 2017, après une série d'expériences musicales publiques, seule avec contrebasse, Justine-chanteuse est devenue GRISE. Elle est cette fois partie d'une base de compos écrites irrésistiblement teintées de jazz et s'est adressée à  l'excellent Victor Abel qui depuis -mais pas toujours- l'accompagne au piano. Seuls deux morceaux de l'ancien répertoire ont subsisté (« Au bon repos », « Ode à  la croissance »). En 2018, Marc Derbaix a rejoint le projet avec sa contrebasse, Justine se mettant aux percussions. En l'absence de Victor, certains concerts se sont également déroulés avec l'accordéoniste Julien de Borman. Lorsqu'elle chante seule, Grise reprend sa contrebasse. Si un jour les cachets des concerts le permettent, un batteur s'ajoutera probablement à  la formule trio, il s'agira de Daniel Duchateau ou de Laurent Vigneron, selon leurs disponibilités.
GRISE, c'est une chanteuse-clown-raconteuse bien accompagnée par des musiciens qui ne sont pas toujours les mêmes ni au même nombre, et qu'on retrouve parfois aussi en formule solo. Elle propose de la chanson francophone gaiement corrosive, flirtant irrésistiblement avec le jazz et invitant au rire, dans des concerts ouverts aux expérimentations. En effet, les morceaux sont revisités selon qu'ils sont accompagnés par tel ou tel musicien, et à  chaque concert sont prévues des phases improvisées, souvent délirantes.
Grise compte actuellement une dizaine de concerts à  son actif notamment à  L'Eau Chaude (Bxl), au Pianocktail (Bxl), aux Fêtes de la Musique de Tourinnes-La “Grosse, au Monty (Genappe), au Point de Chut (Bxl) et dans différentes organisations privées.
  • Jazzy-pop
  • Chanson
  • Huppaye

Contacts et médias

Retrouvez ici les plateformes sur lesquelles l'artiste est présent·e

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Galerie de l'artiste

Biographie

GRISE

Issue d'une famille dans laquelle tout le monde chantait, les jeunes oreilles de Justine Moreau furent baignées d'harmonie classique mais aussi de Beatles, de Rolling Stones, de Sheller, Souchon, Gotainer et autres, de rock 60', de tubes du moment, et du jazz New Orleans qu'écoutait inlassablement le grand-père. Elle passa par la case solfège, qu'elle mit en pratique de 9 à  12 ans, chantant en famille le dimanche soir dans une chorale d'adultes qu'elle finit par quitter parce que c'était le dimanche soir et très catholique.

Après ses études secondaires, elle se forma aux Arts de la Parole au Conservatoire Royal de Liège. Elle suivra ensuite un chemin atypique fait d'apprentissages autodidactes, de formations et de diverses expériences de terrain, principalement dans les domaines du spectacle, de la musique, des costumes, du stylisme et de l'animation.
En 2004 et à  26 ans, alors qu'elle habitait Liège, lui revint à  l'esprit une conviction intime et honteuse qu'elle avait depuis l'enfance d'être chanteuse et sur ce, elle décida de l'avouer et fit son coming out. Un premier projet pop “qui fut de courte durée pour raisons humaines- lui permit de découvrir sa voix à  travers un microphone et de vivre une première expérience de création musicale pour laquelle elle se mit à  l'écriture de paroles et à  l'élaboration de mélodies. A cette époque, Justine se mit à  improviser sur base de ses paroles, dès que possible, avec une rare liberté et un art particulier de capter l'attention. C'est à  cette époque aussi qu'avec joie et stupéfaction elle découvrit le milieu du jazz belge... et les codes du jazz, ce qui lui ôta pas mal de liberté pour un temps.
Désireuse d'apprendre et de pratiquer de la musique avec d'autres, elle retourna au conservatoire (Liège) pour les cours d'ensemble « Rock de Chambre » de Michel Massot et improvisation libre avec Garett List puis Michel Massot. L'été elle suivit des stages (AKDT Libramont, semaine jazz). Elle se mit en autodidacte à  la contrebasse dans l'idée de pouvoir s'accompagner et de communiquer mieux avec les instrumentistes. Avec le collectif Bao, elle pratiqua également plusieurs années les chants traditionnels afro-cubains accompagnés de percussions.
En 2009 naquit la compagnie de théâtre « O quel dommage », dont elle fait partie des membres fondatrices, créatrices et comédiennes. (www.oqueldommage.be).
En 2010, Justine monta, sur base de ses textes, le groupe « Padder and the Schwicks » avec Sofiane Remadna, Daniel Duchateau/ Martin Méreau et Aurore Leloup. Il se fondait en grande partie sur la composition collective qui a bien fonctionné pour trois concerts bien reçus puis s'est épuisée au moment de peaufiner le set. Justine décida alors d'annuler la quatrième date, de stopper le groupe et de ne rien recommencer tant qu'elle ne serait pas en mesure de diriger musicalement son projet. Après une pause musicale méditative, elle se dirigea en 2013 vers la section jazz l'académie d'Eghezée pour entrer enfin dans le vif du jazz avec Daniel Stokkart et Nathalie Loriers, et y trouver les outils manquants à  l'élaboration de son projet (harmonie et pratique régulière en combos).
En 2017, après une série d'expériences musicales publiques, seule avec contrebasse, Justine-chanteuse est devenue GRISE. Elle est cette fois partie d'une base de compos écrites irrésistiblement teintées de jazz et s'est adressée à  l'excellent Victor Abel qui depuis -mais pas toujours- l'accompagne au piano. Seuls deux morceaux de l'ancien répertoire ont subsisté (« Au bon repos », « Ode à  la croissance »). En 2018, Marc Derbaix a rejoint le projet avec sa contrebasse, Justine se mettant aux percussions. En l'absence de Victor, certains concerts se sont également déroulés avec l'accordéoniste Julien de Borman. Lorsqu'elle chante seule, Grise reprend sa contrebasse. Si un jour les cachets des concerts le permettent, un batteur s'ajoutera probablement à  la formule trio, il s'agira de Daniel Duchateau ou de Laurent Vigneron, selon leurs disponibilités.
GRISE, c'est une chanteuse-clown-raconteuse bien accompagnée par des musiciens qui ne sont pas toujours les mêmes ni au même nombre, et qu'on retrouve parfois aussi en formule solo. Elle propose de la chanson francophone gaiement corrosive, flirtant irrésistiblement avec le jazz et invitant au rire, dans des concerts ouverts aux expérimentations. En effet, les morceaux sont revisités selon qu'ils sont accompagnés par tel ou tel musicien, et à  chaque concert sont prévues des phases improvisées, souvent délirantes.
Grise compte actuellement une dizaine de concerts à  son actif notamment à  L'Eau Chaude (Bxl), au Pianocktail (Bxl), aux Fêtes de la Musique de Tourinnes-La “Grosse, au Monty (Genappe), au Point de Chut (Bxl) et dans différentes organisations privées.
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